क्या आप गंभीर हैं? (Pv Pluton)

Ma valise pèse une tonne et mon sac par-dessus... Vive les escaliers pour monter à l'étage de ma chambre. Pfff heureusement que je n'ai pas peur de me casser un ongle comme ma mère la plupart du temps. Plusieurs garçons m'ont même demandé si je voulais un coup de main, je leur ai répondu que ça va aller. Bien sûr, je les ai remerciés tout de même. Autant ne pas se faire d'ennemi ici.

Arrivée à l'étage indiqué sur ma clef avec mon surnom, je soupire en voyant les secousses que j'ai pour arriver à ma chambre. Deux chambres avant la mienne se trouve celle de Wizard, un sourire aux lèvres, au moins je ne serais pas vraiment loin de peut-être un futur ami. Passant ma clef dans le verrou de ma porte, je l'ouvre et rentre pour la refermer.

Ma chambre est grande et spacieuse, avec un grand lit, un bureau devant d'immense fenêtre et une salle de bain. C'est parfait, mieux qu'à mon ancienne école. Posant alors ma grosse valise près de mon bureau, je vais m'asseoir sur mon lit. Ça va, il est assez confortable. Soupirant, j'espère que tout se passe bien entre Wizard et Pluton. Je suis vraiment étonné qu'elle ne lui est rien dit. Je sais que ma mère est une espionne, enfin était. Bon après je suis rentrée à 20 ans à l'école en Amérique, donc avant ça j'étais comme lui, je ne savais rien.

Me levant, je me dirige vers mon sac et sors un paquet de cigarette, je fume très rarement, mais autant l'avoir au cas où. Allant ouvrir ma fenêtre ensuite, je pose mon paquet sur le coin et me dirige vers la salle de bain. Elle est composée d'une douche. Adieu les bains ! Alors que je vais pour me passer un coup d'eau fraîche sur le visage, j'entends toquer à ma porte. Wizard ? Déjà ?

Me dirigeant vers ma porte, je l'ouvre et l’aperçois.

- Wizard ? Entre je t'en prie.

Le laissant passer pour éviter qu'il se fasse bousculer par tout le monde, je referme la porte derrière moi et lui demande :

- Tu as vu Pluton ? Enfin je veux dire ta mère ?

Avec tout le bruit qu’il y avait dans le couloir, je savais que personne pourrait nous entendre, donc pas besoin de chuchoter.

Je ne m'attendais pas du tout à le trouver devant ma porte aussi tôt. Avait-Il vraiment parlé à sa mère ? Le regardant un instant et le laissant entrée, je lui souris et lui dis :

- Tu ne me déranges pas du tout ne t'inquiète pas.

Par la suite quand je lui demande s'il a vu sa mère, celui-ci me réponds que oui et qu'elle ne voulait pas qu'il reste dans cette école. Il lui a donc dit qu'il resterait et qu'il pourra même être meilleur qu'elle. Croisant les bras et me posant contre mon bureau, je lui répond :

- Comme ça on serra deux à vouloir être meilleur que nos mère.

Souriant, je lui demande :

- ça va aller ? Au fait, ne reste pas à l'entrée, fait comme chez toi, toute les chambre se ressemble toutes je présume.

Quand il pose par la suite son regard sur ma valise, je le vois grimacer et me dire que j'aurais du l'attendre. Je ne peux alors m'empêcher de lui dire :

- Je ne me suis pas du tout fait mal, je suis une grande fille, je suis forte.

Montrant mes bras, je fais comme si je lui montre mes muscles en les pliants et rigole doucement.

- Tu veux qu'on aille chercher tes affaires toi dans ta voiture ?

Le sourire aux lèvres quand il me parle d'Hercule, j'avais envie de lui dire qu'il avait une bonne culture, mais n'en fait rien. En tout cas, au moins, je l'ai fait sourire, c'est déjà ça. Le regardant aller vers ma fenêtre, je hausse les épaules et lui dis avec le sourire :

- On peut déjà faire ça alors, tu seras vraiment chez toi au moins en posant tes affaires dans ta chambre.

Le regardant, c'est sûr qu’allez chercher déjà ses clefs sera pas mal et en plus de ça, je sais où allez pour les récupérer.

Le suivant vers la porte de ma chambre, je laisse tout comme ça et arrive quelques minutes après dans le couloir. Mettant ma clef dans ma poche de pantalon, je marche dans le couloir en esquivant les élèves qui courait un peu partout ou jouait au ballon dans le couloir.

- Oui, on ne se perdra pas cette fois-ci, ça ira plus vite.

Lui souriant, je descends les escaliers et arriver dehors prend la route du grand bâtiment.

Lui prenant ce qu'il me tend, je lui souris et répond à sa question :

- Bien sûr, je peux prendre quelques choses d'autres ?

Le regardant faire, je vois son oreiller. Encore un qui n’arrive pas à dormir sans. Le sourire aux lèvres quand il dit qu'il a tout qu'on peut s'occuper des clefs, je commence à avancer à ses côtés.

- C'est par là ? Mais tu es sûr que tu ne veux rien me donner d'autres, tu es chargé là. Donne-moi ton oreiller s'il faut, je le tiendrais bien et y fera attention promis.

Je savais que les personnes ne pouvant pas dormir sans leur oreiller, y tenait vraiment, alors autant que je le rassure en disant que je vais y faire attention.

Je ne cherche pas à le forcé, il ne veut pas donner plus ce n'est pas un soucis, c'est son choix. Marchant vers le bâtiment principal où j'ai eu mes clefs tout à l'heure.

Lui proposant se prendre son oreiller pour qu'il soit plus tranquille, je lui vois regarder son oreiller et ensuite moi. Lui souriant en le prenant, je lui dis toute en restant sérieuse

- Je te promet que je ne le ferais pas tomber.

Je n'avais pas l'intention de le faire tomber, au contraire, je ferais très attention. Arrivée proche de l'accueil, je me tourne vers lui quand il me pose une question.

- Tout à l'heure il y avait du monde. Mais ça devrais le faire maintenant. A moins qu'ils ont diminué les personnes qui donnent les clefs.

Je ne l'espérais pas, comme ça il pourra vraiment se sentir chez lui.

Tenant bien l'oreiller afin de ne pas le faire tomber, je le suis jusqu'à l'endroit où j'ai eu le droit à mes clés et à quelques papiers. Arrivée enfin à l'accueil, je souris et ne voit que Merlin.

- Oui c'est ça. Tant mieux qu'il n'y a plus que lui, ça ira vite comme ça et tu pourras avoir ta clé de chambre.

M'arrêtant alors, je regarde Merlin qui nous a vu et lui sourit. Mon regard de nouveau sur Wizard, je lui dis :

- Je te laisse y aller, je surveille tes affaires.

Je n'allais pas non plus le coller jusqu'au bureau, je ne voulais pas qu'il se sent oppressé. On venait juste de se connaître autant ne pas l'effrayer maintenant. Même si je n'étais pas du genre à collé les gens mise à part si c'est plutôt réciproque et que c'est souhaitez.

Le laissant allez voir Merlin, je ne m'attendais pas à ce qu'il referme la porte. Porte toujours ouverte, pas actuellement j'ai l'impression. Pourquoi refermer la porte ? Regardant Wizard, je détourne les yeux pour les laisser parler tranquillement et attend avec son oreiller contre moi en regardant le couloir.

Me posant contre le mur avec ses affaires, je me détourne vers la porte quand celle-ci s'ouvre de nouveau. Le sourire aux lèvres quand je vois les clefs, je l'entend alors me dire la clef de la liberté.

- Je suis d'accord, quand j'ai eu les mienne, je me suis dis la même chose.

Le laissant reprendre ses affaires tout en faisant attention à son oreiller contre moi, je le regarde parler de nouveau et rigole doucement :

- Dis-toi que c'est peut être la dernière fois que tu iras dans son bureau.

Recommecant à marcher pour partir vers les chambres, je me tourne vers lui et lui demande :

- Rien de grave au moins ? Enfin je veux dire ce qu'il t'a dit Merlin.

Le suivant sans ajouter aucun mot tout en faisant attention à son oreiller, je me surprend un aimer l'odeur qu'il y avait dessus, et donc l'odeur de Wizard, un parfum tout à fait à mon goût. Ne disant rien à cela, je secoue ma tête pour m'enlever cette pensé même si l'odeur est toujours à mon nez.

- Ah d'accord...

Heureusement pour moi je n'ai pas eu le même bla bla étant donné que j'étais au courant pour ma mère et qu'elle m'entraînait depuis mon plus jeune âge. L'écoutant me dire ce qu'il a dit Merlin, j'ai un petit sourire et fini par dire :

- Tu crois qu'il est du genre à venir nous réveiller tôt ?

Arrivant au perron des chambres, je le suis jusque sa chambre et sourit quand il met la clef dans la serrure et la tourne afin d'ouvrir la porte. Le régard an entrer, je le laisse avancer et "visiter". Restant dans l'entrée, je pose ses sacs et garde l'oreiller contre moi afin de ne pas le faire tomber.

Souriant à ses paroles, je hausse les épaules et dis :

- Et puis qui aurait envie de partir ? Certes ça risque parfois d'être dur, mais on est là pour y arriver. Toi comme moi devons montrer à nos mères qu'on en est capable et que nous pouvons être mieux qu'elles.

Je souris et le regarde.

- Ma chambre est à une porte de la tienne si tu as besoin de quoi que ce soit.

Imaginant mon réveil sur 4 heures à l'arrivée de Merlin, me donne le cafard, il ne fera pas ça si ? Dans tout les cas, même si je l'aurais dur et que je le haïrais, j'irais courir sans broncher. C'est comme ça que je deviendrais meilleure que ma mère et je compte le devenir.

Est-ce que tout le monde sont comme ça ici ? Des "assez fou" comme Merlin ? La mère de Wizard, Pluton, qui m'a recruté, n'avait pas l'air d'être ainsi, mais après elle n'était pas professeur ici, elle était espionne.

Regardant sa chambre, je souris et me rend compte que pour me sentir chez moi toute les années que je vais passer ici, je vais devoir allez faire quelques emplette en ville. Mettre une petite touche personnalisé dans ma chambre, me fera du bien. L'entendant me remercier, je lève doucement la main vers lui et lui dis en souriant :

- Ne me remercie pas, c'est tout à fait normal. Enfin je veux dire, tu aurais fais de même tout à l'heure et puis ça ne me dérange pas du tout.

Acquissent quand il me dit que c'est pareil pour moi, je lui fais alors oui de la tête et m'approche de lui pour lui tendre son oreiller.

- Tient, j'en ai pris soin.

Lui souriant, j'attend qu'il le prend pour ajouter :

- Je vais te laisser t'installer tranquillement. Et que notre nouvelle vie commence !

Nouvelle vie, oui certes ma mère est toujours dans les parages, mais pas besoin d'être à sa merci comme à mon école d'avant. Après tout ici on doit oublier qui nous étions avant. Elle a supprimé mes amis, à moi de la supprimer elle.

Lui souriant, je le laisse allez le mettre sur son lit.

- Ne me remercie pas c'est rien, merci à toi de m'avoir fait confiance.

Il n'était pas obligé de me le donner de peur que je le fasse tomber. S'était donc gentil de sa part qu'il me le donne pour que je l'amène ici.

Souriant à sa question je fais alors oui de la tête tout en disant :

- Bien sûr, je te dis à tout à l'heure alors.

Le laissant tranquille pour qu'il s'installe, je me dirige vers ma chambre pour faire de même. Il nous reste deux heure avant 12 heure, ça devrais le faire. Mettant un réveil à mon portable, j'ouvre ma fenêtre et met de la musique pas trop fort pour m'installer dans un bon rythme.